La réorganisation doit viser une série de mesures du marché du travail, qui sont nécessaire aux pays membres et récepteurs au vieillissement et à la mondialisation de population.< /p>
L’enlèvement des barrières sur la participation du marché du travail est devenu la priorité principale, rendue plus urgente par nécessité, afin de limiter les conséquences défavorables sur la population vieillissante ».
Ces sociétés doivent également pouvoir s’ajuster plus rapidement sur les changements provoqués par les progrès technologiques et de mondialisation.
De telles pressions d’ajustement peuvent s’intensifier à l’avenir sur les grands pays riches en terme de travail, tels que la Chine et l’Inde, qui deviennent mieux intégrés dans l’économie mondiale.
La première loi de 1994 sur les retraites s’est concentrée principalement sur la manière de freiner le chômage élevé, avec l’accent particulier mis sur la flexibilité du marché du travail.
Pendant les 10 dernières années la tendance de la montée du chômage a été arrêtée ou renversée dans beaucoup de pays de l’OCDE, et les gouvernements qui ont présenté le genre de réformes recommandées dans la loi de 1994 une réussite en terme de baisse du chômage.
La retraite anticipée devrait donc être découragée.
La retraite anticipée dans le publique devraient être graduellement éliminée, et les pensions publiques et privées comme d’autres systèmes d’assistance sociale reformés afin d’éliminer les incitations à partir tôt du marché du travail » a indiqué l’OCDE.
L’emploi devrait être rendu financièrement attrayant en comparaison aux allocations de chômage afin de ne pas décourager la recherche d’emploi.
Les politiques adoptées par l’OCDE pour augmenter la demande de travail sont également cruciales.
Pour se faire, les impôts sur salaires devraient être réduits, en particulier pour les ouvriers, les salaires minimums devraient être placés à aux niveaux qui ne nuisent pas à la création d’emplois, et on devrait permettre à des sociétés devenir plus flexibles au niveau des salaires.
La concurrence sur les marchés devrait être augmentée et une plus grande flexibilité du temps de travail sera imposée.
Et la législation de la protection d’emploi devrait être reformée dans les pays où elle est rigide. Les contraintes sur les licenciements pour raisons économiques devraient être réduites, alors que de fortes sanctions seront mises en place pour les licenciements abusifs.
La stratégie révisée de l’emploi met également l’accent sur les politiques macro-économiques, et sur la formation.
Cette politique monétaire de l’OCDE devrait se concentrer principalement sur la stabilité des prix mais viser également à « stabiliser l’activité économique » si c’est possible.
Ces projets amènent à abaisser les taux d’intérêts, qui stimulent à leur tour l’investissement et la productivité de travail, préparant le terrain pour des salaires et emplois plus élevés.
L’OCDE y met tout de même un bémol.
« Il peut y avoir une forte résistance à présenter certaines des politiques recommandées car les coûts tendront à être concentrés sur le détail et les groupes bien organisés, tandis que les avantages seront plus diffus et/ou iront aux groupes mal organisés, » a-t-il dit.
Mais il a indiqué que d’autres réformes sur le marché du travail ne peuvent pas être évitées.