L’âgisme, affectant les jeunes et les vieux, est le ; type de discrimination le plus largement rencontré en Grande-Bretagne, d’après une récente étude portant sur les préjudices liés à l’âge.
L’’étude indique que « ;l’âgisme ;» devance maintenant le racisme, le sexisme et la discrimination basée sur un handicap.
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Le seul groupe qui déclare ne pas éprouver de discrimination par rapport l’âge concerne les personnes âgées entre 35 et 44 ans qui sont trop âgés pour être concernées par les stéréotypes liés à la jeunesse et trop jeunes pour subir les préjudices basés sur la vieillesse, explique l’étude.
Parmi les 43% des interviewés de l’étude portant sur 1.843 personnes qui ont dit elles avaient expérimenté un certain préjudice, 65% ont indiqué qu’il s’agissait d’une discrimination liée à l’âge, explique Dominic Abrams, professeur de psychologie sociale à l’université de Kent au journal The Independent.
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L’âgisme est la forme de préjudice qui est éprouvé le plus souvent par les personnes vivants aux Royaume Uni. C’est la forme la plus dominante de discrimination devant le sexe, l’appartenance ethnique, religieuse ou le handicap. Les « personnes de tout milieu sont victimes de l’âgisme ;» ajoute le professeur Abrams. « ;La législation sur l’égalité et les droits de l’homme doit s’assurer que les discriminations liés à l’âge sont traitées au moins aussi sérieusement que toutes les autres formes de préjudices ;».
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L’étude a constaté que les hommes et les femmes souffrent d’âgisme et que ces expériences étaient même plus importantes que le sexisme. Les personnes plus jeunes se sentent également concernées en raison de leur jeunesse, bien que la discrimination envers les personnes âgées soit plus courante.
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