Selon un sondage BMO/Ipsos Reid,
– près d’un sur trois croit qu’il devrait s’occuper des enfants du
défunt;
– un sur quatre croit qu’il serait obligé d’adopter les animaux
domestiques;
– plus d’un sur deux pense qu’il devrait interpréter ce que voulait
dire le défunt dans les parties confuses du testament.
Selon le sondage BMO/Ipsos Reid auprès des baby-boomers canadiens,
lorsqu’on leur a donné le choix de neuf options, seulement 5 % des
baby-boomers ont indiqué correctement les tâches dont un liquidateur
doit
s’acquitter. Tandis que la plupart (88 %) ont correctement choisi les tâches
administratives consistant à payer les comptes, à réacheminer
tout le courrier
et à annuler les abonnements et que 88 % ont aussi choisi celles consistant
à
examiner tous les relevés bancaires et de placements et à fermer
les comptes,
près du tiers (31 %) des baby-boomers ont indiqué incorrectement
qu’ils
devaient prendre soin des enfants du défunt jusqu’à leur majorité
et près du
quart d’entre eux (24 %) pensaient par erreur qu’ils devaient adopter les
animaux domestiques du défunt.
Non seulement les baby-boomers sont-ils perplexes au sujet des tâches
exigées du liquidateur, mais ils ont des idées erronées
sur la durée des
fonctions, qui prennent généralement plus d’un an. Tandis que
plus du tiers
d’entre eux (37 %) pensaient qu’il leur faudrait de 6 à 12 mois, 39 %
des
hommes et 26 % des femmes ont répondu de 1 à 5 mois, et seulement
17 % ont dit
qu’il leur faudrait plus d’un an.
"Ce niveau de confusion au sujet de la signification de la fonction de
liquidateur est assez étonnant", a déclaré Jean Blacklock,
vice-présidente et
directrice générale, Gestion de patrimoine, BMO Groupe financier.
"Grâce à nos
études courantes, nous savons que les baby-boomers ont des priorités
et des
préoccupations qu’il leur faut concilier, et il est donc important pour
eux de
comprendre qu’on ne règle pas une succession en quelques mois – la fonction
de
liquidateur n’est ni brève ni facile. Ils doivent être conscients
de ce fait
si on leur demande d’être liquidateur et lorsqu’ils choisissent un liquidateur
pour leur propre testament."
Le rôle de liquidateur évoque des impressions défavorables
Le sondage a aussi révélé que la confusion entourant
ce rôle s’accompagne
souvent de sentiments défavorables face à cette responsabilité.
Selon ses
constatations, les baby-boomers qui ont exercé des fonctions de liquidateur
ou
qui connaissent quelqu’un qui l’ont fait associent des impressions
défavorables à l’expérience. Les trois premiers choix pour
décrire
l’expérience étaient : prend beaucoup de temps (39 %), stressant
(30 %) et
difficile (26 %). Seul un faible pourcentage a choisi de la décrire comme
positive (13 %) et 11 % l’ont estimée gratifiante. Les femmes étaient
plus
susceptibles d’avoir une réaction défavorable à cette fonction.
Tandis que 41 % des baby-boomers ont indiqué qu’ils se sentiraient
honorés d’être nommé liquidateur, 35 % ont dit qu’ils se
sentiraient nerveux
ou intimidés. Seulement 21 % ont dit qu’ils seraient confiants et 16
% ne
savaient pas comment ils se sentiraient.
Les baby-boomers nommeraient quand même un membre de leur famille à
cette
fonction
Pourtant, malgré la confusion et les sentiments mitigés au sujet
de cette
fonction, les deux tiers des baby-boomers ont déclaré qu’ils choisiraient
un
membre de leur famille comme liquidateur – un conjoint (30 %), un enfant
(21 %) ou un frère ou une soeur (18 %). Les femmes sont plus susceptibles
que
les hommes de nommer un enfant (25 % comparativement à 16 %). Seulement
8 %
choisiraient un professionnel – soit un avocat ou un notaire (7 %) ou une
société de fiducie (1 %). Fait intéressant, près
de la moitié des baby-boomers
(46 %) indiquent que s’ils refusaient d’être liquidateur, ils le feraient
parce qu’ils ont l’impression qu’ils n’ont pas la compréhension ou les
connaissances pour effectuer toutes les tâches requises. Plus du tiers
(36 %)
refuseraient parce qu’ils vivent dans une province ou un pays différent.
"On reste perplexe lorsqu’on constate que certains répondants indiquent
qu’ils nommeraient un parent comme liquidateur mais reconnaissent qu’ils
pourraient refuser cette responsabilité pour quelqu’un d’autre s’ils
estimaient ne pas comprendre le rôle, a déclaré Mme Blacklock.
Alors que les
baby-boomers abordent les tâches importantes de planifier leur propre
succession et d’agir à titre de liquidateur pour d’autres, une bonne
première
étape consiste à demander l’avis de professionnels. Lorsqu’il
s’agit
d’administrer une succession, recourir à une société de
fiducie comme la
Société de fiducie BMO est une option pratique et économique."
"La planification successorale n’est qu’un des nombreux éléments
auxquels
les baby-boomers doivent commencer à réfléchir, en plus
de leurs régimes de
retraite, et BMO est là pour les aider à déterminer et
à régler les questions
clés liées à la prochaine phase de leur vie", a ajouté
Mme Blacklock.
BMO aide les clients nommés liquidateurs
BMO Groupe financier a préparé un guide, disponible dans toutes
les
succursales de BMO, pour fournir aux liquidateurs les renseignements dont ils
ont besoin pour s’acquitter de ces fonctions. Pour ceux qui demandent
directement de l’aide, la Société de fiducie BMO peut se charger
en tout ou en
partie de l’administration – depuis l’examen initial du testament jusqu’à
la
distribution finale des biens. On peut trouver de plus amples renseignements,
y compris une liste exhaustive des fonctions d’un liquidateur et des conseils
sur le choix d’un liquidateur, à l’adresse
www.bmoinvesting.com/reglement_de_la_succession.
Le sondage a été mené par Ipsos Reid pour le compte de
BMO Groupe
financier auprès de 1 430 Canadiens âgés de 45 à
60 ans du 22 au 27 mai 2007.